Artistes et amateurs d'art se mobilisent en soutien
aux récents lauréats des Beaux-arts et aux jeunes artistes émergents !
2017 Exposition collective à la fondation TGCC à Casablanca au profit du centre culturel « les étoiles du détroit » 2016 38ème Moussem culturel international d’Assilah 2015 Paris Art Fair, représenté par Loft Art Gallery 2015 Exposition à Loft Art gallery « un été à Giverny » 2014 Loft Art Gallery permet à Kim Bennani de devenir le 1er artiste marocain à travailler 3 mois durant dans les ateliers de Claude Monet, à Giverny. 2013 Loft Art Gallery rend hommage à l’artiste dans son ouvrage DConnexions, édité à l’occasion des cinq ans de la galerie. 2012 Exposition à la Coningsby Galery de Londres. 2011 Exposition à Loft Art Gallery à Casablanca avec Claire de Virieu et Jean-Claude Laffitte. 2010 Exposition avec Moa Bennani chez MemoArts, à Casablanca. 2009 Exposition à la galerie l’Essentielle de Rabat, en compagnie de Moa Bennani et de Jean-Claude Laffitte. 2006 Exposition au Royal Nautic Club de Rabat. 2005 Exposition chez MemoArts, à Casablanca. Entre 1999 et 2002, Kim Bennani expose régulièrement en France et en Espagne, à plusieurs reprises à Grenade, à la Galerie Diana et à la Galerie Van Gogh.
BENNANI Karim (Kim)
Kim Bennani est né à Tétouan, en 1972, dans l’atelier de son père, le peintre Mohamed Bennani dit « Moa ». A l’âge de onze ans, Kim obtient le premier prix d’un concours international de dessin (Chan Kars International Children Competition à New Delhi, en Inde). Il s’inscrit à l’école des Beaux-Arts de Tétouan, avant de terminer ses études en Espagne, à l’école des Arts Appliqués de Malaga. Il expose en France, en Espagne et au Maroc. Ses œuvres figurent dans la collection de Sa Majesté Mohammed VI roi du Maroc. Dès ses débuts, il a développé une peinture hyper réaliste qui l’a aidé à s’assurer de son métier de peintre. Aujourd’hui il essaie de s’orienter vers une expression plus libérée des contraintes de l’académisme. « Le paysage ne prend vie qu’une fois couplé à la matière, le paysage et plus précisément sa présence comme preuve tangible et fragile de l’existence est mon unique préoccupation, cette approche est pour moi une conciliation nécessaire entre la figuration et l’abstraction, le dit et le suggéré. »